Classés parmi les professions les plus suicidaires, les agriculteurs sont aussi ceux qui souffrent le plus du syndrome d’épuisement professionnel, autre nom du burn-out. Le phénomène a pris une telle ampleur que le ministère de l’Agriculture a mis en place, en octobre 2016, une «aide au répit», afin de soutenir les professionnels en proie en surendettement, généralement préalable aux difficultés relationnelles intra et extra-familiales, à la dépression, voire au suicide.